2 – 2023. visite d’une plantation de café à cordoba.

finca del cafe à CORDOBA

La visite commence par la plantation de caféiers avec Marleny, productrice de café bio à Cordoba, dans le département de Quindio. On commence par grimper pour pouvoir accéder à la plantation de 3 hectares de Marleny. Les caféiers poussent sur le flanc de la colline et c’est haut… les caféiers sont taillés afin qu’ils ne grandissent pas trop car récolter les grains, serait difficile. On profite aussi des paysages magnifiques et des différentes plantations et arbres présents sur la colline.

Visite d’une finca del café à Cordoba. Marleny, productrice bio de café, nous présente ses plantations et nous donne quelques explications sur la culture du café. Ci-dessous j’en retrace les étapes.

Marleny nous explique que les fleurs de caféiers se transforment en fruits de la taille d’une olive appelés cerises de café. D’abord vertes, les cerises deviennent rouges quand elles arrivent à maturité. La couleur est un facteur déterminant : plus la cerise est à maturité optimale et plus le café sera de bonne qualité. La récolte s’effectue toute l’année dès lors que la cerise passe au rouge voire grenat.

Voici la belle fleur très blanche du caféier.
La fleur se transforme en un grain vert puis le grain devient rouge. Plus sa couleur est rouge, plus il est parvenu à maturité.

Quelques heures après avoir été détaché de sa branche, on passe à la fermentation qui ne doit pas être trop long. Ensuite, on décortique le fruit à l’aide d’une machine. Passée cette phase, les fruits sont lavés à grand eau pour retirer tous les résidus et les mauvais grains.

Ensuite c’est le séchage des grains : ils sont disposés en couche mince sur un filet et ratissé régulièrement pour maintenir une température uniforme. Après 8 à 15 jours de séchage, ils sont prêts pour la sélection. Puis c’est la phase de la torréfaction chez le torréfacteur de la région. Les grains sont cuits dans une poêle à feu moyen et dès qu’ils deviennent noir et commencent à faire un bruit de pop-corn, ils sont prêts à être commercialisés en grain moulu ou en grain entier.

Le torréfacteur, développe l’arôme ; les grains de café doivent être chauffés et brassés dans une brûlerie. Le rôle du maître torréfacteur est d’adapter les bons profils et cuissons aux grains.

Marleny cultive, aussi, au milieu de ses plantations, des cacaoyers, elle nous fait découvrir la cabosse d’un cacaoyer et nous explique les différentes étapes pour obtenir des fèves de cacao.

Au milieu des plantations de caféiers, Marleny nous montre le cacaoyer et son fruit, la cabosse.  Marleny essaie aussi de produire du cacao à l’arôme de vanille, c’est pourquoi elle arrime sur le cacaoyer une fleur de vanille. La vidéo montre la découpe de la cabosse et les explications de Marleny sur les différentes étapes du cacao, depuis la cabosse du cacaoyer jusqu’au séchage de la fève.

1ère étape : la découpe d’une cabosse à maturité, celle-ci doit être de la couleur jaune pour être coupé. La cabosse renferme de 20 à 50 graines qui donnent un kilo de fèves sèches. Chaque graine est enrobée d’une pulpe blanche, à la dégustation c’est visqueux mais très bon ! 2ème étape : la fermentation. 3ème étape : le séchage. 4ème étape : le tri, il faut séparer les fèves ; celles qui seront utilisées pour la poudre de cacao et le beurre de cacao et celles qui seront utilisées pour la fabrication du chocolat. 4ème étape : c’est la phase de torréfaction chez le torréfacteur.  

1 – 2023. SUR LES ROUTES ET PISTES DE LA BELLE COLOMBIE

Itinéraire de notre parcours : de COVENAS situé dans le département de Sucre, au bord de la mer des Caraïbes
jusqu’à YAGUARA, ville du département de Huila.
Nous avons fait la connaissance du couple franco/espagnol Conchi et Thierry à Villavicencio lors de l’achat de la HIMALAYAN de Thierry, la même que Yves.
En se quittant, on s’est dit qu’on se retrouverai ailleurs en Colombie pour partager la route ensemble.
Nous nous sommes retrouvés « on the road again » de IBAGUE à YAGUARA.
De belles routes mais aussi de la piste, la vidéo ci-dessous en montre un extrait.  
 

 
La vidéo montre un aperçu des différentes routes et pistes empruntées sur notre parcours.

Dès lors que l’on conduit en Colombie, on est surpris par la façon de conduire des colombiens. La conduite est rapide et sportive, les conducteurs et conductrices (camions, voitures, bus, tuctuc, 2 roues…) respectent assez peu le Code de la route, ils conduisent comme s’ils étaient seuls au monde, surtout les 2 roues ; ce qui amène à avoir une vigilance de chaque instant. Le clip montre un extrait de la conduite des 2 roues. Ils doublent par la droite et vous frôlent lors d’un dépassement, ils ne connaissent pas les distances de sécurité. Les motos représentent 59 % du trafic routier en Colombie…. On a tout dit !

Sur la route, il y a les vendeurs ambulants qui proposent leurs produits (boissons, bonbons, fruits, légumes, objet divers…) mais à même la chaussée. Les arrêts intempestifs sont donc fréquents, la patience est de mise.

Il y a des routes qui sont en mauvais état avec beaucoup de nids de poule mais il y a aussi de très belles routes et on prend plaisir à rouler. On en profite !

Il n’y a pas d’autoroutes telles qu’on les trouve en Europe, il y a parfois des doubles voies, mais qui peuvent se transformer rapidement en une voie à l’approche d’une ville.

Par ailleurs, il n’y a pas d’aire de stationnement sur le bord des routes, impossible de s’arrêter pour prendre des photos.

On ne s’y attend pas, mais la piste peut comprendre aussi la traversée d’un fleuve sur un bac à moteur, appelé Ferry de la TATACOA ! 
Attention à bien maintenir sa moto sur le bac !
Sur le réseau secondaire, il est fréquent que les routes se transforment en pistes de terre, alors quand il pleut, c’est de la boue ! conduire devient périlleux.
L’état de nos motos après 30 km de piste sous la pluie.
L’équipement du motard aussi !!!!

I – 2023. L’AMERIQUE DU SUD A 2 MOTOS.

i – PREMIÈRE DESTINATION : LA BELLE COLOMBIE.

CENTRE DE LA COLOMBIE : ÉTAPE A villavicencio

Depuis le 05 janvier 2023, nous sommes arrivés en Colombie. Première étape : la capitale BOGOTÁ puis VILLAVICENCIO, dans la région de META, où nous avons rendez-vous à la concession Royal Enfield, pour enfin voir nos motos. Pour découvrir l’Amérique du Sud, nous avons choisi de poursuivre notre périple en 2 roues ; le side-car ayant été vendu cela nous a permis d’acheter ces deux motos. La vidéo ci-dessous, présente nos deux motos Himalayan.

ROYAL ENFIELD à VILLAVICENCIO, chez Omar, propriétaire de la concession.
Devant la concession RE de Omar avec Marie Sol, à Villavicencio, région META, COLOMBIE, voici nos deux motos Himalayan avec l’équipement complet. Professionnels, sérieux, et à l’écoute de leurs clients, on recommande l’équipe de la concession RE à Villavicencio !

Soirée festive à la Colombienne ! Nous sommes en compagnie de l’équipe de Royal Enfield et de Thierry et Conchi, également en voyage à moto en Colombie.
Nous sommes en compagnie de Nelson, un jeune homme colombien, passionné par la moto, qui nous a interviewé sur notre voyage et a posté sur son compte Instagram PERRO VIEJO BIKER l’interview et des photos. Voici le lien pour voir la vidéo : https://www.instagram.com/p/CoDN8pbJhwW/?igshid=Yzg5MTU1MDY=

2022. le Mexique – INTERVIEW SUR NOTRE VOYAGE PAR IVETH

SAN JULIAN, ville située dans l’état de Jalisco au Mexique. Sur la place principale de la ville, à une terrasse d’un café où nous allons régulièrement prendre notre café, nous sommes interviewé par Iveth HERNANDEZ qui s’intéresse à notre voyage et à nos ressentis sur son pays. (Iveth gère les pages Facebook : « SoyDeSanMiguelElAlto » « CulturaAltena » et la chaîne Youtube « Iveth la Altenita »)

SUR LES ROUTES DE L’AGAVE – États de Jalisco et Michoacan – MEXIQUE

Retour à San Julian : itinéraire du retour par des routes et chemins qui longent la culture de l’agave. Nous traversons aussi des champs de maïs par des chemins caillouteux pour arriver à un restaurant au milieu des terres. Superbe balade !

De gauche à droite : Arturo, Librado, Guille et moi.
Vue panoramique depuis la terrasse du restaurant. Au loin les champs d’agave.

RETOUR AU MEXIQUE VIA LA BASSE CALIFORNIE

Retour au Mexique via la basse Californie

JUILLET 2022. Notre road-trip nous conduit à la découverte de la péninsule de Basse Californie, du Nord au Sud.

La péninsule de Basse Californie, est entourée par l’océan Pacifique et le Golfe de Californie, appelé aussi la mer de CORTÉS. Les vents du Pacifique et les courants marins de Californie font de son climat un éternel printemps.

Le Nord est entouré de montagnes, au fur et à mesure de notre route, le contraste des paysages est étonnant. On a traversé de nombreuses montagnes, des oasis, des déserts, les panoramas sont dépaysants et ne cessent de changer. De nombreux cactus tout le long de notre parcours, on y voit aussi des étendues de roches et de pierres avec et toujours de beaux cactus !

La découverte de la mer de CORTÉS nous en met plein la vue ! le bleu de la mer est magnifique, plus on descend vers le sud la couleur change.

Les trois vidéos qui suivent montre un aperçu de La Baie des Anges ; la petite ville de LORETO avec ses pélicans pêcheurs suivi d’un message téléphonique de nos petites-filles et pour finir un clip sur l’emplacement de notre toile de tente sur le terrain de camping de La Paz. Notre dernier campement au Mexique ! Quelques photos de nos différentes étapes et de nos rencontres avec des voyageurs.


Baja de Los Angeles endroit magnifique, vue sur la mer de Cortés sublime.
Notre dernière étape, la ville de LA PAZ, capitale de la Basse Californie Sud, nous avons trouvé un terrain de camping très bien aménagé. Notre séjour au camping nous a permis de rencontrer et d’échanger avec des voyageurs brésiliens, chiliens, canadiens, français, suisses. Quelques photos de nos rencontres.
Un jeune couple originaire du CHILI parcourant le monde pour 6 mois dans leur camping car.

Longeant le bord de mer de LORETO, on ne s’attend pas à voir voir les pélicans pêcheurs. Le clip est suivi d’un message téléphonique de nos petites-filles. 
Au camping, rencontre avec un couple de brésiliens parcourant le monde depuis 7 ans dans leur camping car.
Rencontre avec Audrey et Ronan, un couple de français, qui vivent à San Francisco depuis quelques années. Quel hasard, cette rencontre, car Audrey a de la famille à Saint-Dié des Vosges !
Sur la route, visite du village San Ignacio situé dans une oasis de verdure. Au centre, une église datant de l’an 1721.
Étape à GUERRERO NEGRO, rencontre avec un couple d’italiens et un couple d’américains découvrant la Basse Californie.

LE parc national : le GRAND CANYON WEST – ARIZONA

The skywalk at eagle point

JUILLET 2022. Notre road-trip nous conduit à la découverte de Grand Canyon West et du Skywalk. Il est situé sur la réserve Hualapai (tribu indienne). Nous avions visité le côté Nord en 2019 avec nos amis Brigitte et Olivier et cette fois-ci nous avions envie de marcher sur cette célèbre plateforme de verre. Après 2h30 de conduite, pour traverser le désert, nous arrivons à l’entrée du Grand Canyon Ouest.
La plateforme a été inaugurée en 2007 ; il a fallu quatre ans pour construire cette merveille d’ingénierie moderne de 30millions de dollars. C’est une passerelle avec un plancher de verre en forme de fer à cheval qui permet d’observer le canyon depuis 1 220 mètres de hauteur. Impressionnant de marcher sur cette plateforme et de voir le vide sous ses pieds !

Un point de vue sur le canyon et le Colorado. Magnifique !

L’ENVERS DU DÉCOR DE SKYWALK

1.  A la billetterie : on demande 2 billets pour le Skywalk, qui est affiché à 36 $ et là on nous répond, non ce n’est pas possible, il faut prendre le pack, c’est-à-dire, le Skywalk et les 2 points de vue accessibles en bus pour 75 dollars par personne. On nous fait comprendre que les prix sont fixés par la tribu et que c’est comme ça !

2. A la station de bus : on attend le bus, pendant 30 minutes, qui nous conduit au site du Skywalk. Arrivés sur le site du Skywalk :  nous avons patienté une bonne heure, beaucoup de visiteurs de divers pays du monde. Tout le long de notre attente, il y a des photos, des objets artisanaux qui retracent la vie des indiens Hualapai et de leurs us et coutumes. Très intéressant. La gestion de l’attente et du flux de visiteurs, est bien gérée.  

3. Surprise !   On apprend que nos effets personnels sont à ranger dans un casier (style piscine) car de surcroît les appareils photos, les caméras, les téléphones ne sont pas autorisés sur la plateforme. Là on voit les panneaux indiquant cette interdiction.

4. Accès à la plateforme : on passe sous une borne de détection de métaux (style aéroport) pour que les indiens soient certains qu’aucun visiteur ne transporte aucun appareil ; on enfile les protections pour les chaussures pour accéder, enfin, à la plateforme.

5. Avant d’arriver sur la plateforme :  il y a 2 files, une file pour les photos et une file pour ceux qui ne veulent pas de photo ; on comprend pourquoi les appareils photos sont interdits car il y a des photographes indiens qui monopolisent la plateforme le long du côté gauche et indiquent la position à prendre pour la meilleure photo aux visiteurs ! Bien entendu, à la sortie les visiteurs choisissent la photo pour un coût conséquent ! Notre passage sur la plateforme est gâché par les photographes qui prennent beaucoup de place !

6.  A la sortie : on avait soif, donc on a acheté deux petites bouteilles d’eau pour 7 $ la bouteille !

Épilogue : bref, il ne faut pas s’y rendre car c’est de l’arnaque. Pour les sceptiques de notre récit, regarder sur Google les affirmations des internautes. On aurait lu ces remarques avant, on n’y serait pas aller.

Très décevant pour nous malgré la beauté de la plateforme et les points de vue remarquables. Il est préférable de se rendre du côté Nord du Grand Canyon pour admirer aussi, cette merveille de la nature.

LE PARC NATIONAL : MESA VERDE

« TABLE VERTE » – ÉTAT DU COLORADO

Notre road-trip nous conduit à la découverte de Mesa Verde (table verte) National Park dans l’état du Colorado. Le clip présente les différents villages troglodytiques rencontrés en parcourant la route panoramique du parc. Une deuxième vidéo présente le terrain de camping de Mesa Verde, en plein cœur d’une forêt ainsi que l’emplacement de notre toile de tente. Petite visite de notre cocon sous la tente.  

JUIN 2022. Route panoramique de Mesa Verde. Au fur et à mesure des arrêts , on découvre les villages indiens nichés dans les falaises ! Surprenant et spectaculaire !
C’est un immense parc, de 211 km², qui abrite 5000 sites archéologiques dont plusieurs villages troglodytiques. Il est traversé par une route panoramique dans un décor de canyons et de forêts verdoyantes.
Les villages furent occupés au début des années 600 par les Anasazis, ancêtres des indiens Pueblos.
 
La route est pittoresque avec un certain nombre d’arrêts et de belvédères qui offrent des vues spectaculaires sur les différents villages nichés dans les falaises. Les falaises culminent entre 2100 et 2800m d’altitude.
« La table verte » ou Mesa Verde

CLIN D’OEIL SUR NOTRE CAMPEMENT A MESA VERDE

Le terrain de camping MOREFIELD se trouve à 6 kilomètres de l’entée du parc.

C’est un camping où il y a beaucoup d’espace, nombreux sont les arbres, bosquets qui environnent le terrain. Chaque site dispose d’une table, d’un banc et d’un grill. A proximité des sanitaires, se trouve un conteneur en fer où l’on doit y ranger la nourriture, car les ours noirs sont présents dans le parc et dès qu’ils sentent de la nourriture ou du parfum, ils cassent tout. La nuit, on entendait beaucoup de bruits… pour parer à l’imprévu d’un ours noir, on avait prévu, pour faire du bruit, un sifflet… sait-on jamais !  

Au réveil, tout près de notre emplacement, on a observé une biche et un cerf, en train de brouter tranquillement. Puis à quelques mètres de la tente, des oiseaux nichés dans un tronc d’arbre qui piaillent et attendent la becquée. Un camping, en pleine nature, où l’on s’est ressourcé malgré l’ours noir et les araignées dangereuses…

LE PARC NATIONAL : LES ARCHES – UTAH

LES ARCHES

JUIN 2022. Notre road-trip nous conduit à la découverte de ARCHES National Park, dans l’état de Utah. Ce territoire possède l’une des plus grandes concentrations au monde d’arches de grès façonnées par l’érosion.
On a eu plaisir à parcourir ce splendide parc et à en contempler ses panoramas mais pour découvrir d’autres arches il faut quelques jours et nous n’avions qu’un après-midi.
Plus de 2000 arches répertoriées, sur 296 km² du parc, d’une taille allant d’une ouverture de 0.90 cm à 91 m pour la plus grande.
Les paysages arides de l’Utah, nous font penser à ces films de western avec les indiens, on les imagine aisément galopant sur leurs chevaux…

La musique qui accompagne le clip fait un clin d’œil aux indiens qui ont vécus et exploité ce territoire pendant des milliers d’années. Ils ont parcouru le désert à la recherche de plantes et d’animaux comestibles, ainsi que de pierres pour fabriquer des outils et des armes. Ils ont aussi laissé des preuves de leur passage sur certaines parois rocheuses.

LE PARC NATIONAL : BRYCE CANYON – UTAH

Amphithéâtre de BRYCE CANYON

JUIN 2022. Notre road-trip nous conduit à la découverte de BRYCE CANYON National Park, dans l’état de UTAH. C’est le parc à ne pas manquer, comment ne pas être émerveillé par le chef d’œuvre de la nature !

Point de vue BRYCE POINT – L’amphithéâtre. Nous nous sommes rendus à plusieurs points de vue pour découvrir le canyon sur plusieurs angles. Le premier point de vue : Bryce Point, à 2528 m d’altitude pour admirer l’amphithéâtre et ensuite Inspiration Point, Sunrise Point et Sunset Point.

Aiguilles et tourelles rocheuses se dressent telles des flèches ! les couleurs sont sublimes et sont changeantes en fonction de la luminosité ; on y voit des espèces de conifères qui survivent dans ce milieu inhospitalier qui ajoutent cette couleur verte dans l’ensemble de cet amphithéâtre : époustouflant !

Nous sommes descendus dans l’amphithéâtre pour observez les colonnes de pierre, les arches, les falaises découpées telles une cathédrale. La palette de couleur devient de plus en plus nuancée, on voit ces couleurs orangées de plus en plus clair pour aller à la couleur crème.

On ne s’est pas aventuré très loin dans le canyon car nous n’avions pas l’équipement indispensable pour randonner, mais nous avons apprécier de voir et de toucher ces roches composées essentiellement de calcaire.